[POESIE] Le Paradis Des Amoureux Des Strophes !

Rappel du premier message :

C'est ici le Paradis des poètes du forum ! Lâchez votre encre.....
______________________________________________________
Je vous fais part donc d'une de mes publications personnelles !
Dites moi ce que vous en pensez !
C'est vrai que je ne me contrains pas trop sur le respect sans condition de la mesure sur les 12 (alexandrins) mais avec mon style de vers plus ou moins libres (plus simple d'ailleurs) je crois avoir fait ressortir mes sensations et sentiments !
Toujours est-il que c'est vous les juges !!
_________________________________________________

Allons voir les vagues

Je te rends ta mèche
Mignonne, viens, je t'amène à la pêche
Nous prendrons témoin l'autel des vagues
Là, sous ce silence loquace je t'enfilerai ta bague

Ô voleuse ! Laissons-la dérober le sable sous nos pieds
Cette eau si inoffensive, à nous, ne peut se fier
Déroulant sous nos silhouettes un tapis ondulé,
Comme toi elle cherche à être adulée

Mignonne, grimpe, là-haut, sur le toit de tes douceurs
Positionne tes flèches et, je t'en supplie, vise mon cœur
Ma vie, n'est-ce pas, comme la tienne
Souffre et souhaite le bonheur que de la nuit advienne

THIAM Babel
_________________________________________________

Cette question retentit chaque jour. Et l'angoisse du silence nous revient comme écho. Cette question retentit, et son gong nous meut ou nous paralyse.

C'est ton poème ici qui m'a inspiré.

http://www.senediaspora.com/litterature-langues-posie-f5/poesie-le-paradis-des-amoureux-des-strophes-t544-525.htm#171498

Maudite question....

En ce moment le gong de la question me paralyse plus qu'il ne me meut.
Comme si, paralysé, je pouvais mieux écouter l'écho impossible de la réponse.....

L'amitié

L'amitié c'est une palette d'humeur
Qui change d'heure en heure
De la joie,on passe à la tristesse
Puis doucement revient la tendresse

L'amitié c'est une palette de bonheur
Mais aussi de malheur
Des nombreux fous rires
Restent de bons souvenirs
Des rares pleurs
Restent une trace dans le coeur

L'amitié c'est une palette de couleur
Qui se vit à plusieurs
Qu'on soit rouge ou jaune,noir ou blanc
Rien ne change vraiment
Qu'on soit Français,
Africains,Japonais
Marocains ou Portugais
L'essentiel c'est d'aimer

L'amitié ce n'est qu'une palette de bonheur
Et de couleur

VIVE L'AMITIE!!!!

Ton symbolisme est magnifique, la jolie. Ça se voit que tu écris avec le coeur...

lol merci lyncx mé gm bien ce k tu ecri oci c trés beau vrémen

Shuuuuut
"Shuuut,je t'en prie
Ecoute moi
Ne me dis plus rien,je t'en supplie
J'aurai tellement de choses à te dire,
Mais je ne sais pas par où commencer
Je crois que j'ai eté atteint par la flèche..
La flèche de Cupidon,
Qui m'empeche de dormir,de voir,d'entendre
Sache que je t'aime
De tout mon etre,de tout mon coeur
Si tu doutes de mon amour,alors
Shuuut,ecoute moi........."

Je vous lis... et j'aime, vous êtes poétiques !

Vraiment bien!

Merci, c'est justement ce que je cherchais

Merci beaucoup









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Salut Ninjakiwi

T'as lu les 23 pages???

T'écris aussi de poèmes???

Fais voir stp

Kateb Yacine l'immense écrivain algérien écrivait " j'écris en français pour dire aux français que je ne suis pas français ».

Kateb tu n'est pas le seul, Nous sommes des millions à écrire, parler, rêver, penser et vivre cette langue et dire aux français que Nous ne sommes pas eux. Que Nous sommes Nous, et que "votre" langue n'est plus la "vôtre".

Kateb, tu disais aussi que le français était "le butin de guerre des Algériens".
Vous, les français avez voulu nous imposer je ne sais quelle culture ou morale étrangère avec votre langue, avec votre étique, avec votre esthétique.

Mais Nous vous l'avons prise votre langue, Nous vous l'avons prise à votre insu, pendant le combat. Nous y avons laissé nos morts, des millions. Et Nous vous l'avons prise votre langue.

Et maintenant c'est la Nôtre. Et avec votre langue, qui est maintenant la Nôtre Nous écrivons, parlons, rêvons, pensons et vivons dans Notre culture et dans Notre morale, avec Notre éthique et avec Notre esthétique.

Il
ya de la poesie dans tes mots
Il ya de la lumiere dans tes phrases
Il ya
de la joie dans ton sourire
Il ya de la lumiere dans ton elan
Il y a
dans tes mots
Un feu qui me dicte la voie
Il ya dans ces vers tout le
secret
De mon silence
Martyr, je ne serai pas Jack mais
Plutôt
Tristan ce chevalier preu d'Iseult..

Feeling {Sentiment}

J'ai le sentiment que ces le commencement d'une fin
que j'ai étais contraint d'errer au sein de l'affluence
Ecoutez , écoutez , les sanglots silencieux de ma voix,
Regardez , regardez , dans mais yeux oh combien je me noie,
Derrière cette image se cachent des larmes de rage et de chagrin
Sur ce visage ou j'affiche un air serein
J'aurais besoin d'une ruse pour me libérais
Certainement!chacun doit garder en conscience que tout un jour ou l'autre nous délaisse,
ainsi, autant s'évertuer à se séparer du monde dès les prémices
Au diable la rage, le courage, la gloire
Me faire pardonner ces ce dont j'ai songé,
l'illusion n'est pas une source de vérité,
Et puis , je n'ai plus la force d'y croire
il fait nuit dans mes veines le temps s'est figé
A l'horloge de mes peines se noient les regrets
frère de cœur mais pas de sang
Après tout en quoi est-ce différent ?
Là où se côtoient le bien et le mal
Pour un malheur maximal
Là où beaucoup parlent de respect
Mais au fond nul ne sait ce qu'il est
Après tout nous ne sommes
Rien de plus que des hommes.
ET Oui je voudrais quitter ce monde
Aller là où sont mes rêves
Quitter cette atmosphère nauséabonde
J'aimerais tant qu'il y ait une trêve.
Oui mais voilà, le monde ne changera pas
Depuis toujours on nous fait des promesses
On le verra passer de vie à trépas
Tout ça pour un monde que l'on blesse
mais peut importe je suis toujours solidaire
et j'échange ma paire de Nike aire
avec la tienne ci tu veut ,
pour que tu puisse voir ce qui en es
marcher sur mais propre pas , mais propres traces
donc

[Refrain]
Prend Ma place
Moi ta place
changeons nos vies
nos Habits
prend les miennes ,
moi les tiennes
inversons tes actions AvEc mes actions .
Tes activités
mais activités
prend les miennes ,
moi les tiennes
juste pour , percevoir , qu'elle sentiment , tu ressent !
Une conversion-le temps d'une Simple chanson
OOoOh Une simple conversion
Juste le temps d'une simple, chanson
O-Ou-o-Ou-O !!!!!


J'ai le sentiments que tous le monde porte un masque
que Tout le monde es Hypocrite et Patraque
que de dire ce que l'on ressent choque
que tous le monde se fiche de l'autre et s'en moque
Terrible vérité maquillée par les jaunes sourires
Par les mots doux es-les mensonges , tous-est-chelou !
On est tous des êtres humains
On a besoin de-se tende la main
On a besoin de se pardonner
Avoir Un Nouvel espoir , se le donner
Mais J'ai beau essayer , de parler
d'tout expliquer puis d'hurler
Tout le monde est sourd et muet
et ne veut pas écouter
donc je suis considérais comme une poupée de porcelaine
Qui a perdu ses esprits dans son corps de scène
chaqu'un pour chaqu'un , n'est-ce pas ?
Puff sa propres gueule ces tous ce qui compte putain !
Poursuivons l'art et l'imagination
A travers tes créations tu pourras t'exprimer...
A travers ces paroles tu pourras t'évader..
Associons-nous pour l'éternité !
Si après la vie l'on doit ce retrouver au sommet !
Change la vie afin qu'on puisse se souvenir de toi, en bien.
Dis-toi que la mort t'attendra toujours demain...
Ne vis pas dans l'horreur de ce monde.
Balade-toi, telle un/une vagabond(e)...
N'attends rien de la vie
Et n'attends pas la mort
Vis ton présent sans avoir tort
Soit solidaire avec le peuple et Souviens-toi de cela
la vie n'est faite que pour la vivre qu'une fois ...

[Refrain]
Prend Ma place
Moi ta place
changeons nos vies
nos Habits
prend les miennes ,
moi les tiennes
inversons tes actions AvEc mes actions .
Tes activités
mais activités
prend les miennes ,
moi les tiennes
juste pour , percevoir , qu'elle sentiment , tu ressent !
Une conversion-le temps d'une Simple chanson
OOoOh Une simple conversion
Juste le temps d'une simple, chanson
O-Ou-o-Ou-O !!!!!

Ouais ! Pour vous mes chéries
saine et fidèle
Une fée a dû se poser sur
votre berceau lorsque vous êtes née..
Vous nous avais éduquer , fais grandir ,
et vous allez éduquer encore et faire grandir encore
dans un monde dominer par le pouvoir , l'argent , et l'or ..
Mais ce n'est pas grave , car notre or a nous
c'est vous ... Ne changer pas ..vous êtes
magnifiques ...!Zut ! Ahah ..Il n'y a pas de mots assez
puissant pour vous décrire ..vous êtes tous ! .....


Slim 2009

RALGEND.SKYROCK.COM

Tends-moi tes mains pour qe j'y dessine
Mes rêves d'homme et d'ivrogne
Tends-moi tes joux pour que j'y depose
Mes bisous tendres aux roses
Tends-moi tes lèvres saveurs exotiquesç
Pour que j'y depose cette goutte d'eau
Purificatrice et creatrice de symbiose.
Je sonderai avec toi les profondeurs
Bythales de l'ocean pour recueillir
Les ingredients pour notre idylle.

J'ai les mains qui tremblent Seigneur,
Epargne-moi de la force demiurge de satan
J'ai le coeur qui bat Seigneur,
Epargne-moi de ce souffle doux
Qui me tend son halo de mystère: de galère
J'ai le corps qui s'endort, dehors tout doucement
Comme cet or qui sort de cette terre ocre
Et qui fond tout calmement
J'ai les yeux qui brillent, qui brillent de désir
Seigneur épargne-moi de cette force qui m'attire
De cette beauté sauvage saveur exotique
Saveur qui me hante et qui m'attire vers le péché
J'ai le corps en transe, en catarsis,
Seigneur epargne-moi de cette liturgie hysterique
Seigneur, toi qui d'un seul oui donne le oui
Et pour le toujours ,
Seigneur donne-moi la force d'al Burakh,
Seigneur, je voudrais m'envoler vers d'autres contrées
Lointaines et souveraines,
Vers d'autres contrées plus à même de m'accepter
Tel que je suis, tel que tu m'as crée
Vulnérable, vîl, menteur, escroc et même traitre parfois
Tout juste ces contrées qui m'accepteront tel que je suis:
Tel que tu m'as modelé , un faiseur de ndiaxum
Seigneur epargne-moi alors du zaqqum
ô Seigneur donne- moi la force de lire le chemin
Que tu me trace dans cette vaste nuit noire et obscure...
Ton vent mouvant et chantant l'hymne du salut:
De la quiétude primitive et premiere : celle du vâtes.

franchement chapeau zéri tu ecris trop bien c admirant

Nymphe a écrit:franchement chapeau zéri tu ecris trop bien c admirant

Merci la Nymphe on ecrit aussi pour partager notre plaisir ...

A tout le monde.. ! echke je peu poster en anglais fii?

Pour quoi pas??

The choice is no longer yours to make

When love calls your number

Fight if you will, but it’s already too late

Like apologizing when 6ft under

Surrender I say, for your own sanity’s sake!

They say love is for dreamers

But from this dream I wish to not awake

Leave me then to my slumber

Leave me! To the company of a billion stars

Harvest moon hovering over head

A beauty indescribable, face without scars

Of a color mixed, orange and red

I have lived a lifetime but never glanced at thee

Blinded by the bright city lights

Riding the whirlwind of a life lived at full speed

Love has come to me with might

Taken hold of me like a lasso that won’t let go

Whispering to me “slow it down a bit”

“I will give you my all without quid pro quo!”

What? Let no one wake me up!

Let me be drunk of this elixir until fully satiated

Let this volcano long dormant now erupt

To melt in your arms I for so long have waited

So here! Take me and find me eager

A willing captive locked in a prison without guards

A prison only fools long to enterA prison called Love.

Et pourquoi pas ne pas le partager à vous chers frères,
chères soeurs, chers amis? Pourquoi ne me sentirai-je pas seul en votre
présence et déliberer de tout avec vous? Pourquoi ne pas vous faire
part de mon desarroi quotidien qui aprés tout peut être celui de nous tous? Me faut-il dans l'absolu de mon fort interieur vous jugez pour
ce que vous n'êtes certainement pas? Vous arrive-t'il sous le poids de
la separation de vous recroqueviller dans un coin sans l'espoir d'en
sortir? Se sentir seul et abandonné par moments par les êtres qui
comptent le plus pour vous; ce sentiment bizarre et pesant ne vous
envahit-il pas par moments?
Eh bien chers amis, frères et soeurs je
viens vers vous pour vous conter mon mal et de vous j'attends des mots
salvateurs, des câlins et tout le reconfort qui manque à mon âme.
Chers
amis, il est un sentiment partagé par tous que je crois mien malgré
tout : la séparation. La solitude de mon être m'a permis de refléchir
sur moi et sur sur ce qui m'entoure et j'avoue que cette etude purement
ontologique a debouché ineluctablement sur les abuysses sans delices de
la separation. Ce sentiment ou fait qui eloigne les amoureux en temps
de guerre´, car monsieur le soldat a laissé derrière lui sa belle fleur
pour aller defendre l'honneur de la patrie. Ce sentiment qui anime
cette ville atteinte par le cholera et separant les mères de leurs
nouveaux-nés; cette profonde douleur de voir son enfant quitter son
pays natal sur une pirogue de fortune à la recherche de lendemains
meilleurs pour toute une famille; ce jugement sociétal qui fait que le
mari se cache pour ne pas affronter la realité du quotidien en face.
Chers
amis, frères et soeurs c'est ce sentimnt qui me pèse et qui reveille en
moi un volcan; ce volcan symbolisant l'absurdité de mon choix de vivre
loin des miens sans garanties concrètes. Chers amis, frères et soeurs,
me faut-il laisser tomber ce choix par moments bizarre et flou et
rejoindre ceux que j'aime même si là-bas auprès d'eux je ne suis sûr
que d'une chose?
-J'aurai l'amour de ceux que j'aime et qui m'aiment.
Finalement,
ma solitude me pousse à penser que malgré notre intelligence d'êtres superieurs ;
que parfois bêtes nous sommes bêtes de choisir le materiel et laisser
tomber tout ce qui est pur et qui ne s'achète pas : l'amour; et me
voilà telle une pierre qui roule sans but fixe, telle une feuille
d'arbre qui vole au grè du vent separé de moi même et de tout ce qui
tourne autour de mon être. Vous arrive-t-il de penser comme moi? Chers
frères, cheres soeurs, chers amis?.

Comment definirais-je l’amour?



C’est demander a une inconnue de danser, juste parce qu’elle la plus proche de moi quand le DJ a mis ma chanson preferee

C’est la surprise ressentie quand elle s’abandonna dans mes bras, surprise qui me fit fermer mes yeux parce que je ne m’etais jamais senti aussi comfortable

C’est ouvrir ma porte devant une apparition angelique, un sourire que je reconnaitrais meme dans une nuit noire sans lumiere, sans lune ni etoiles. Un sourire ave lequel j’ai danse 3 jours auparavant

C’est lui demander d’emmenager chez moi parce que je ne voudrais plus vivre un instant sans elle a mes cotes

C’est voir le meme visage, le meme sourire, jour après jour, tous les jours, deux ans Durant et ressentir chaque jour un amour plus fort

C’est l’enlacer de derriere pendant qu’elle cuisine et lui deposer un leger baiser sur le cou en lui chuchotant dans l’oreille “I love you baby!”

C’est lui tenir la main dans les rayons du supermarket et lui deposer un leger baiser sur les levres comme si le monde exterieur n’existait plus

C’est le baiser parfait de levres qui performent un ballet d’une harmonie

C’est se reveiller au milieu de la nuit, la regarder dormir, souriante, et se demander si elle revait de moi

C’est les frissons ressentis quand elle m’effleure le bras en me racontant sa journee au boulot

C’est etudier ses attraits sublimes, son nez, ses levres, son corps en pensant “ Boy!.. Allah est en realite le plus Grand des createurs” et prier qu’IL veuille bien etre la colle qui vous unira pour l’eternite

C’est etendre ma main et lui caresser le visage parce que y’a tant de choses que je voudrais lui dire mais les mots me manquent et “Je t’aime” ne semble pas tout a fait suffisant

C’est ressentir un mal severe que je ne peux ni decrier ni situer quand elle est loin de moi

C’est desire avoir 25 ans eternellement pour l’aimer eternellement

C’est la regarder et penser “Cette femme, qu’elle est superbe, et elle est mienne”

C’est vouloir etre le meilleur home possible, pour la combler…

zeriézékiri a écrit:Et pourquoi pas ne pas le partager à vous chers frères,
chères soeurs, chers amis? Pourquoi ne me sentirai-je pas seul en votre
présence et déliberer de tout avec vous? Pourquoi ne pas vous faire
part de mon desarroi quotidien qui aprés tout peut être celui de nous tous? Me faut-il dans l'absolu de mon fort interieur vous jugez pour
ce que vous n'êtes certainement pas? Vous arrive-t'il sous le poids de
la separation de vous recroqueviller dans un coin sans l'espoir d'en
sortir? Se sentir seul et abandonné par moments par les êtres qui
comptent le plus pour vous; ce sentiment bizarre et pesant ne vous
envahit-il pas par moments?
Eh bien chers amis, frères et soeurs je
viens vers vous pour vous conter mon mal et de vous j'attends des mots
salvateurs, des câlins et tout le reconfort qui manque à mon âme.
Chers
amis, il est un sentiment partagé par tous que je crois mien malgré
tout : la séparation. La solitude de mon être m'a permis de refléchir
sur moi et sur sur ce qui m'entoure et j'avoue que cette etude purement
ontologique a debouché ineluctablement sur les abuysses sans delices de
la separation. Ce sentiment ou fait qui eloigne les amoureux en temps
de guerre´, car monsieur le soldat a laissé derrière lui sa belle fleur
pour aller defendre l'honneur de la patrie. Ce sentiment qui anime
cette ville atteinte par le cholera et separant les mères de leurs
nouveaux-nés; cette profonde douleur de voir son enfant quitter son
pays natal sur une pirogue de fortune à la recherche de lendemains
meilleurs pour toute une famille; ce jugement sociétal qui fait que le
mari se cache pour ne pas affronter la realité du quotidien en face.
Chers
amis, frères et soeurs c'est ce sentimnt qui me pèse et qui reveille en
moi un volcan; ce volcan symbolisant l'absurdité de mon choix de vivre
loin des miens sans garanties concrètes. Chers amis, frères et soeurs,
me faut-il laisser tomber ce choix par moments bizarre et flou et
rejoindre ceux que j'aime même si là-bas auprès d'eux je ne suis sûr
que d'une chose?
-J'aurai l'amour de ceux que j'aime et qui m'aiment.
Finalement,
ma solitude me pousse à penser que malgré notre intelligence d'êtres superieurs ;
que parfois bêtes nous sommes bêtes de choisir le materiel et laisser
tomber tout ce qui est pur et qui ne s'achète pas : l'amour; et me
voilà telle une pierre qui roule sans but fixe, telle une feuille
d'arbre qui vole au grè du vent separé de moi même et de tout ce qui
tourne autour de mon être. Vous arrive-t-il de penser comme moi? Chers
frères, cheres soeurs, chers amis?.

Zéri, le sentiment qui t'anime, anime tes frères aussi.
La séparation qui t'affaiblit, affaiblit tes frères aussi.
Nous sommes les malheureux Prométhées, qui vont en enfer ramener une torche, car notre clan est dans le noir.
Nous descendons jusqu'aux abysses de l'humanité ramener une lumière qui, au final, ne vaut pas nos ténèbres.
Mais ramener cette lumière matérielle est notre sacerdoce: nous avons été envoyés par nos proches le chercher. Nous en faisons un devoir, car de notre succès dépendra l'amour que certains d'entre eux nous portent.
De notre succès, croyons-nous, dépendra notre valeur.
Nous avons été habitués ici à la friabilité des relations humaines. Nous avons été habitués à ne nouer sincèrement qu'avec nos semblables. Cette déchirure qui rougeoie en nous n'est donc que l'affirmation de la valeur des relations humaines, qu'on a quittées.
Ce n'est que le cri de révolte de nos ambitions passées.
Ce n'est que l'amère complainte des amours dévoyées.
Que l'erratique soubresaut de l'homme véritable.
Nous ne deviendrons hommes que si ce rift est comblé.
La vraie valeur de l'homme se révèle, à lui et au monde, à la séparation. Mais elle ne vit qu'après l'unification.

573 mercis pour vos msgs n° 569, 570, 571 et 572.

Vous avez réveillez en moi 573 désirs de faire, de répondre, d'écrire, de vivre.

zeriézékiri a écrit:Et pourquoi pas ne pas le partager à vous chers frères,
chères soeurs, chers amis? Pourquoi ne me sentirai-je pas seul en votre
présence et déliberer de tout avec vous? Pourquoi ne pas vous faire
part de mon desarroi quotidien qui aprés tout peut être celui de nous tous? Me faut-il dans l'absolu de mon fort interieur vous jugez pour
ce que vous n'êtes certainement pas? Vous arrive-t'il sous le poids de
la separation de vous recroqueviller dans un coin sans l'espoir d'en
sortir? Se sentir seul et abandonné par moments par les êtres qui
comptent le plus pour vous; ce sentiment bizarre et pesant ne vous
envahit-il pas par moments?
Eh bien chers amis, frères et soeurs je
viens vers vous pour vous conter mon mal et de vous j'attends des mots
salvateurs, des câlins et tout le reconfort qui manque à mon âme.
Chers
amis, il est un sentiment partagé par tous que je crois mien malgré
tout : la séparation. La solitude de mon être m'a permis de refléchir
sur moi et sur sur ce qui m'entoure et j'avoue que cette etude purement
ontologique a debouché ineluctablement sur les abuysses sans delices de
la separation. Ce sentiment ou fait qui eloigne les amoureux en temps
de guerre´, car monsieur le soldat a laissé derrière lui sa belle fleur
pour aller defendre l'honneur de la patrie. Ce sentiment qui anime
cette ville atteinte par le cholera et separant les mères de leurs
nouveaux-nés; cette profonde douleur de voir son enfant quitter son
pays natal sur une pirogue de fortune à la recherche de lendemains
meilleurs pour toute une famille; ce jugement sociétal qui fait que le
mari se cache pour ne pas affronter la realité du quotidien en face.
Chers
amis, frères et soeurs c'est ce sentimnt qui me pèse et qui reveille en
moi un volcan; ce volcan symbolisant l'absurdité de mon choix de vivre
loin des miens sans garanties concrètes. Chers amis, frères et soeurs,
me faut-il laisser tomber ce choix par moments bizarre et flou et
rejoindre ceux que j'aime même si là-bas auprès d'eux je ne suis sûr
que d'une chose?
-J'aurai l'amour de ceux que j'aime et qui m'aiment.
Finalement,
ma solitude me pousse à penser que malgré notre intelligence d'êtres superieurs ;
que parfois bêtes nous sommes bêtes de choisir le materiel et laisser
tomber tout ce qui est pur et qui ne s'achète pas : l'amour; et me
voilà telle une pierre qui roule sans but fixe, telle une feuille
d'arbre qui vole au grè du vent separé de moi même et de tout ce qui
tourne autour de mon être. Vous arrive-t-il de penser comme moi? Chers
frères, cheres soeurs, chers amis?.

Ah mon frere Zeri.. Oui certainement ceux parmis les plus introspectifs d'entre nous se verront a travers tes mots. Mais cette introspection a laquelle tu te livre en ce moment meme n'est que le resultat de cette separation n'est ce pas? alors ne vois tu pas deja son l'importance des emotions qu'elle suscite en toi?
Loin de tous les reperes familiers, on se decouvre, on apprend a se connaitre soi meme. Et cela accompli l'on est mieux equipper a affronter la vie, a mieux l'apprecier et surtout a mieux reconnaitre et valoriser ce qui notre sur cette terre.. Du courage jeune frere, tu es sur le bon et droit chemin..

zalzal a écrit:573 mercis pour vos msgs n° 569, 570, 571 et 572.

Vous avez réveillez en moi 573 désirs de faire, de répondre, d'écrire, de vivre.

Et 574 envies de suicide? non?

Sinon les gars vos textes sont cuivrés..... It's shining like da Gold !

Maximum rispékt 2 ya alll !

Ca donne des frissons d'être ailleurs... Mais ô combien il est pourtant et quand même intéressant d'être ailleurs... On le sait généralement quand on rentre !

Où aller chercher les mots
Qui me permettraient de célébrer ta beauté?
Etoile, tu brilles parmi tes congéneres comme
Aucune autre ne brille de jour comme de nuit.
Soleil, tu éclaires mes journées comme personne
D'autre ne saurait le faire..
Où aller chercher les mots
Pour celebrer ta beauté?
Muse, tu m'insipires et m'attires
Dans ton univers telle une force inconnue.
Telle la lys parmi les fleurs
Tu es parmi les femmes
Où aller chercher les mots
Pour celebrer ta candeur.?
Flamme , tu brûles à feu doux
Pour m'apporter la douceur hièmale..
Dans les abysses de l'ondée sacrée
Je cherche les mots , mais loin de les rencontrer
Car , ils sont aux profondeurs bythales
Où aller chercher les mots
Pour célébrer tes rondeurs exotiques?
Abeille, tu danses comme une fée
Indiquant le chemin à suivre pour les courtisans
Sous la diaprure du soleil au Zenith..
Biche , ta sveltesse de déesse enchantée
Me porte aux acmés des fantasmes les
Plus demiurgiques et abyssaux.
Où aller chercher les mots
Pour chanter ton mystere ?
Centaure, tes libations sacrées
Me purifient et me protègent de
Toute liturgie hysterico-nevralgique

Un songe étrange
Peupla ma nuit.
Des draps de transe
Et un homme qui fuit.

Un périple onirique
Intensément vécu.
Une Odyssée anonyme
Une fin empirique.

Le départ fut diffus.
Mais l'arrivé claire
De la blanche lumière
De l'éclair du tonnerre

Assis dans mon lit
Je tenais une tortue.
Sans carapace aucune
Mais une tortue.

Et sa tête surgit
En bois de granit
Lisse et poulie
A l'encre de Chine

Aux traits hiératiques
Aux yeux sans rétine
Elle me dit
De ses lèvres tortueux

"Je suis un jeune homme de 25 ans blessé, aide-moi! "

Ces sons me furent susurrés dans mon oreille.

Ces sons n'étaient pas dans mon rêve.

Ces sons m'ont réveillé par ce que je voulais sortir de mon beau rêve pour venir en aide à ce frère qui me le demandait.....

Frère blessé de la Guinée, saches le, ta mort nous hèle.

Véritable hymne à la compassion !

Tu veux dire compatir avec un homme qui meurt blessé et qui te demande de l'aide ..... oui....

J'ai vraiment entendu ce susurrement. Il était réel, il était dans l'oreille, pas dans le rêve.
Il y a certainement un frère à Konakry qu'en mourant a hélé de l'aide....
Pardonne moi frère, pardonne moi....

zalzal a écrit:Un songe étrange
Peupla ma nuit.
Des draps de transe
Et un homme qui fuit.

Un périple onirique
Intensément vécu.
Une Odyssée anonyme
Une fin empirique.

Le départ fut diffus.
Mais l'arrivé claire
De la blanche lumière
De l'éclair du tonnerre

Assis dans mon lit
Je tenais une tortue.
Sans carapace aucune
Mais une tortue.

Et sa tête surgit
En bois de granit
Lisse et poulie
A l'encre de Chine

Aux traits hiératiques
Aux yeux sans rétine
Elle me dit
De ses lèvres tortueux

"Je suis un jeune homme de 25 ans blessé, aide-moi! "

Ces sons me furent susurrés dans mon oreille.

Ces sons n'étaient pas dans mon rêve.

Ces sons m'ont réveillé par ce que je voulais sortir de mon beau rêve pour venir en aide à ce frère qui me le demandait.....

Frère blessé de la Guinée, saches le, ta mort nous hèle.

De ta plume saveur prune
Tu me rumine, vermine
Minée par cette syntaxe
Taxée à haut voltage
Volage, rage, carnage, ravage
La vengeance anime les corps,
Le coeur en langueur, en douleur...
Malheur, d'un peuple
Tragédie d'une jeunesse
En quête de lumière celeste...
Lestes, celestes, vestes, testes, textes
Je sents mes mots,
Rapides, brillés, habillés, impuissants, entrelacés
Pour pleurer à leur tour à chaudes larmes
Les larmes qui coulent et qui ruisellent
Laissant des sillons tout en nettoyant
le sang versé par l'innoncence.
Comédie d'un homme
Tragédie d' un peuple
Ainsi s'incarne le pouvoir
Quelque part sur terre ...

zeriézékiri a écrit:

zalzal a écrit:Un songe étrange
Peupla ma nuit.
Des draps de transe
Et un homme qui fuit.

Un périple onirique
Intensément vécu.
Une Odyssée anonyme
Une fin empirique.

Le départ fut diffus.
Mais l'arrivé claire
De la blanche lumière
De l'éclair du tonnerre

Assis dans mon lit
Je tenais une tortue.
Sans carapace aucune
Mais une tortue.

Et sa tête surgit
En bois de granit
Lisse et poulie
A l'encre de Chine

Aux traits hiératiques
Aux yeux sans rétine
Elle me dit
De ses lèvres tortueux

"Je suis un jeune homme de 25 ans blessé, aide-moi! "

Ces sons me furent susurrés dans mon oreille.

Ces sons n'étaient pas dans mon rêve.

Ces sons m'ont réveillé par ce que je voulais sortir de mon beau rêve pour venir en aide à ce frère qui me le demandait.....

Frère blessé de la Guinée, saches le, ta mort nous hèle.

De ta plume saveur prune
Tu me rumine, vermine
Minée par cette syntaxe
Taxée à haut voltage
Volage, rage, carnage, ravage
La vengeance anime les corps,
Le coeur en langueur, en douleur...
Malheur, d'un peuple
Tragédie d'une jeunesse
En quête de lumière celeste...
Lestes, celestes, vestes, testes, textes
Je sents mes mots,
Rapides, brillés, habillés, impuissants, entrelacés
Pour pleurer à leur tour à chaudes larmes
Les larmes qui coulent et qui ruisellent
Laissant des sillons tout en nettoyant
le sang versé par l'innoncence.
Comédie d'un homme
Tragédie d' un peuple
Ainsi s'incarne le pouvoir
Quelque part sur terre ...

zeriézékiri a écrit:
De ta plume saveur prune
Tu me rumine, vermine
Minée par cette syntaxe
Taxée à haut voltage
Volage, rage, carnage, ravage
La vengeance anime les corps,
Le coeur en langueur, en douleur...
Malheur, d'un peuple
Tragédie d'une jeunesse
En quête de lumière celeste...
Lestes, celestes, vestes, testes, textes
Je sents mes mots,
Rapides, brillés, habillés, impuissants, entrelacés
Pour pleurer à leur tour à chaudes larmes
Les larmes qui coulent et qui ruisellent
Laissant des sillons tout en nettoyant
le sang versé par l'innoncence.
Comédie d'un homme
Tragédie d' un peuple
Ainsi s'incarne le pouvoir
Quelque part sur terre ...

Et quelque part sur terre
C'est ainsi que s'incarne
La fin de l'innocence
D'un homme, d'un peuple,
D'un monde.

tchey gnom victor hugo,sembene ousmane,david diop etc.....

Foo fatté ñoom Staël, Sévigny, Sand?

wa Lynx yaw thiep bi mom minguifi ba tey? ya bakh d. .mais kou thiep li mom.......thiep dal mingui plassam

Ton grand-père etait plus intelligent que le mien c'etait pourquoi il
s'est emparé de toutes les richesses echangées contre des frères. Ton
grand-père etait plus intelligent que le mien, c'etait pourquoi toutes
les bonnes choses du village etaient devant sa concession et il en
usait comme bon lui semblait. Ton grand-père etati plus riche que le
mien car il avait dans sa boulimie de richesse confisqué les terres,
même celles des enfants orphelins. Ton grand-pere etait plus
intelligent que le mien car , rien ne pouvait l'empêcher de parvenir à
ses fins personnelles, ni la morale, ni la religion, ni l'esprit de
partage...
Ton père etait plus intelligent que le mien, puisque ce
dernier, reveilllé de grands matins passait sa journée entière à
labourer les terres du chef et ceci pour des miettes. Ton père etait
plus intelligent que le mien car,de sa propre sueur mon père ne
parvenait même pas à assurer le minimum vital pour sa famille pourtant
modestement nombreuse alors que ton père, en sillonnant une matinée les
bureaux de ses collegues, collectait des infos qu'il venait vomir dans
les oreilles du chef et tout benef etait pour lui.
Tu es plus
intelligent que moi, puisqu'à chaque fois que j'effondre tes preuves,
tu as toujours su jouer de subterfuges pour te tirer d'affaire; malgré
la conscience que j'ai de cette situation que je contrôle à merveille.
Tu
es plus intelligent que moi car, ton père t'a appris les secrets de ce
monde machiavélique, comment il faut penser à soi et rien qu'à soi pour
pouvoir vaincre sans avoir la moindre petite parcelle de raison.
Mais,
puisse
mon fils plus intelligent que le tien, baigner dans le fleuve de la
méritocratie et de la volonté personnelle et rester toujours devant le
tien pour celà.
Puisse mon fils plus intelligent que le tien et
faiire de la justice un crédo, de la reconnaissance de la valeur et de
la différence de l'autre comme des vertus cardinales.
Puisse mon fils plus utile que le tien et aimer son payer autant sinon plus qu'un fils n'a jamais aimé son pays dans sa vie .
Puisse
mon fils s'illustrer dans le droit chemin et faire de la reussite
collective un sacerdoce et toujours oeuvrer dans le sens de la
perseverance commune.
Pluisse le père que je suis, être plus à même
que ton père de comprendre les arcanes de la justice, du libre arbitre,
du travail juste et dévoué, bref de l'art de vivre en harmonie et
justice avec ses concitoyens pour dicter à mon liber son vade-mecum de
la vie.
Puisse le grand-père que je serai un jour, le dernier jour
s'en aller avec le coeur et l'esprit tranquills puisque durant tout au
long de sa vie et de son experience a tracé les silllons, guidé sa
progéniture dans le chemin qui lui a permis d'agir en homme libre et
juste.
Puisse le grand-pere que serai s'en aller ravi d'avoir laissé
les lumières briller pour eclairer le chemin sombre, lugubre et
tortueux de tous: de l'humanite.

zériii vraiment bravo; tu as une excellente inspiration!!!

zeriézékiri est ecrivain?!!! je savais pas ça.

Dites... il est passe ou Logi?

colombe a écrit:zeriézékiri est ecrivain?!!! je savais pas ça.

Merci Colombus et F.C... mais Colombus, j'ecris juste pour le plaisir
Saba,
c'est quoi ou qui Logi?

Il parle de Logicie2434536...

zeriézékiri a écrit:Ton grand-père etait plus intelligent que le mien c'etait pourquoi il
s'est emparé de toutes les richesses echangées contre des frères. Ton
grand-père etait plus intelligent que le mien, c'etait pourquoi toutes
les bonnes choses du village etaient devant sa concession et il en
usait comme bon lui semblait. Ton grand-père etati plus riche que le
mien car il avait dans sa boulimie de richesse confisqué les terres,
même celles des enfants orphelins. Ton grand-pere etait plus
intelligent que le mien car , rien ne pouvait l'empêcher de parvenir à
ses fins personnelles, ni la morale, ni la religion, ni l'esprit de
partage...
Ton père etait plus intelligent que le mien, puisque ce
dernier, reveilllé de grands matins passait sa journée entière à
labourer les terres du chef et ceci pour des miettes. Ton père etait
plus intelligent que le mien car,de sa propre sueur mon père ne
parvenait même pas à assurer le minimum vital pour sa famille pourtant
modestement nombreuse alors que ton père, en sillonnant une matinée les
bureaux de ses collegues, collectait des infos qu'il venait vomir dans
les oreilles du chef et tout benef etait pour lui.
Tu es plus
intelligent que moi, puisqu'à chaque fois que j'effondre tes preuves,
tu as toujours su jouer de subterfuges pour te tirer d'affaire; malgré
la conscience que j'ai de cette situation que je contrôle à merveille.
Tu
es plus intelligent que moi car, ton père t'a appris les secrets de ce
monde machiavélique, comment il faut penser à soi et rien qu'à soi pour
pouvoir vaincre sans avoir la moindre petite parcelle de raison.
Mais,
puisse
mon fils plus intelligent que le tien, baigner dans le fleuve de la
méritocratie et de la volonté personnelle et rester toujours devant le
tien pour celà.
Puisse mon fils plus intelligent que le tien et
faiire de la justice un crédo, de la reconnaissance de la valeur et de
la différence de l'autre comme des vertus cardinales.
Puisse mon fils plus utile que le tien et aimer son payer autant sinon plus qu'un fils n'a jamais aimé son pays dans sa vie .
Puisse
mon fils s'illustrer dans le droit chemin et faire de la reussite
collective un sacerdoce et toujours oeuvrer dans le sens de la
perseverance commune.
Pluisse le père que je suis, être plus à même
que ton père de comprendre les arcanes de la justice, du libre arbitre,
du travail juste et dévoué, bref de l'art de vivre en harmonie et
justice avec ses concitoyens pour dicter à mon liber son vade-mecum de
la vie.
Puisse le grand-père que je serai un jour, le dernier jour
s'en aller avec le coeur et l'esprit tranquills puisque durant tout au
long de sa vie et de son experience a tracé les silllons, guidé sa
progéniture dans le chemin qui lui a permis d'agir en homme libre et
juste.
Puisse le grand-pere que serai s'en aller ravi d'avoir laissé
les lumières briller pour eclairer le chemin sombre, lugubre et
tortueux de tous: de l'humanite.

Magnifique mais d'espoir, mais de révolte, mais prémices!
Si au fond de nous tous ce mais retentissait, si tes paroles trouvaient chez nous tous le même écho, j'aurais envie de croire qu'il serait peut-être possible que ce monde change...

Lyncx,
malheureusement ou heureusement ? c'est selon, en tous cas le monde doit changer..


Primum vivere deinde filosofare?


Olalllalalallallalalalalala, les idées se debattent et se bouscoulent dans ma tête et ma foi ce n'est pas chose aisée de les restituer telle qu'elles arrivent mais plutôt tel que ma memoire me les restitue comme le mouton rumine l'herbe qu'il vient de brouter il y a de celà un instant.
En fait disons que je me livre à une veritable experience montaignienne d'ecriture de mon moi. Ce moi qui subit les contrecoups du temps et que la memoire essaye de restaurer comme un nouveau locataire qui prepare une pendaison de cremaillère.
Par ou commencer ?
Je ne sais pas ..J
e me pince la cuisse op me vient en tête aussitôt la surprise ou que dis-je? l'etonnement.
Eh oui, il nous arrive dès fois de nous etonner face à des situations banales, drôles bizarres qui nous mettent un coup sur la figure..
Ce matin, comme d'habitude après avoir recu un courrier que j'ai bien lu et suivi les instructions qui m'y ont été données; telle est ma surprise d'apprendre que l'amitié peut ne tenir qu'à un bout de fil. Ne vous arrive-t'il pas de recevoir des courriers dont le continue vous permet d'aller au-delà de vous- mêmes?
Des courriers qui vous font reflechir et qui vous font comprendre que la vie n'est pas cette fleur qu'on appelle rose qu'on odore et hume tranquillement sur son fauteuil; mais que cette vie, notre vie ; celle des autres qui ne sont pas nous et qui pourtant nous sont très chers est quêtes, peines, regrets, victoires, bonheur et pire: deceptions.
Si telle n'est pas la vôtre, la mienne est ainsi faite et je m'accommode tel Cesaire de cette situation, car, pour mieux vivre la vie, il faut savoir la saisir dans tous les sens et accepter de pâtir du poids pesant qu'elle nous reserve au quotidien. M'accommodant ainsi de cette situation, je retrouve pourtant ma plenitude dans ce silence ravageur; ce silence chaos et chaotique qui repousse mon moi intime dans ces illo tempore insaisissables qui depassent toute forme de temps newtonien; ces illo tempore qui me rappellent un jadis que je cherche toujours celui de la quietude premiere; celle des mots :celle de Dieu.
Bof, le silence ravageur et devastateur qui pousse et repousse toute velleité de prolixité car, la grandeur d'un homme se trouve non par la quantité de mots qu'il dit sans cesse, mais par la quantité et la joliesse des silences qu'il garde dans les abysses de sa deception. La vie, cette locomotive sans conducteur, qui avance à une vitesse de folie n'est rien d'autre que ce miroir, qui nous renvoie l'image que nous nous faisons de nous- mêmes et celle que nous nous faisons aussi des autres, cette fausse image, ce mensonge desiré qui se presente à nous à tout bout de champ.
Heureusement, pour se sentir libéré de ce poids, il ya un allié de taille qui ne dit pas son nom mais qui agit sur nous plus que nous mêmes et à qui nous accordons des fois une importance de fourmi; je veux dire: le temps.
Cette presence-absence qui nous pousse à nous projeter sur des objets tels que le calendrier , la montre, les jours pour essayer de le maitriser en vain. Cette chose si absente et pourtant si presente qui nous trace des sillons trompeurs au quotidien. Cette douceur qui rythme notre vie à travers notre respiration et qui , telle une baguette magique peut faire sombrer tout dans l'oubli.

Avei fratres...

".... la grandeur d'un homme se trouve non par la quantité de mots qu'il dits sans cesse, mais par la quantité et la joliesse des silences qu'il garde dans les abysses de sa déception."

Cette phrase est comme une mega bombe qui vient d'exploser dans le plus profond de silences de mes abysses....

zalzal a écrit:".... la grandeur d'un homme se trouve non par la quantité de mots qu'il dits sans cesse, mais par la quantité et la joliesse des silences qu'il garde dans les abysses de sa déception."

Cette phrase est comme une mega bombe qui vient d'exploser dans le plus profond de silences de mes abysses....

Que c'est joli aussi ta façon de le dire...

Filosofare ad vivendum... Qui non filosofat valorem vitae negat.

Cet allié que tu as trouvé en le temps, je l'ai trouvé en la solitude et en démon Émilie. Contrairement à toi, le temps agit sur moi comme une promesse ou, pire, une instanciation de ce que je devrais être, et que ne suis pas. Démon Emilie m'accompagne à chacune de mes pas, juge chacune de mes actes. une présence qui torture, mais dont on sait que si elle n'était pas aussi pesante, la morale dévierait...

Tu as dit une chose interessante. Que pour mieux vivre la vie, il vaut s'en accommoder et accepter de pâtir du poids qu'elle nous réserve... N'est-ce pas une renonciation à l'espérance? Je me doute que tu ne parles pas de la vie de ceux qui t'entourent, que tu aimes et sans lesquels ta vie n'aura aucun sens, car, pour espérer pour les autres, il faut une certaine dose de renonciation à son espérance personnelle. Mais accepter ce poids n'implique-t-il pas de le laisser grandir?

Lorsque j'entends tes mots, je me rappelle que toujours, nous nous cherchons sans jamais nous trouver. Les hommes accomplis que nous voudrions être sont toujours à portée, mais jamais atteints. Nous sommes toujours en quête de quelque chose qui nous définit, nous guide et nous tient sous son joug, mais ce joug nous est nécessaire pour vivre. Ou plutôt devrait l'être...

Lyncx a écrit:Filosofare ad vivendum... Qui non filosofat valorem vitae negat.

Cet allié que tu as trouvé en le temps, je l'ai trouvé en la solitude et en démon Émilie. Contrairement à toi, le temps agit sur moi comme une promesse ou, pire, une instanciation de ce que je devrais être, et que ne suis pas. Démon Emilie m'accompagne à chacune de mes pas, juge chacune de mes actes. une présence qui torture, mais dont on sait que si elle n'était pas aussi pesante, la morale dévierait...

Tu as dit une chose interessante. Que pour mieux vivre la vie, il vaut s'en accommoder et accepter de pâtir du poids qu'elle nous réserve... N'est-ce pas une renonciation à l'espérance? Je me doute que tu ne parles pas de la vie de ceux qui t'entourent, que tu aimes et sans lesquels ta vie n'aura aucun sens, car, pour espérer pour les autres, il faut une certaine dose de renonciation à son espérance personnelle. Mais accepter ce poids n'implique-t-il pas de le laisser grandir?

Lorsque j'entends tes mots, je me rappelle que toujours, nous nous cherchons sans jamais nous trouver. Les hommes accomplis que nous voudrions être sont toujours à portée, mais jamais atteints. Nous sommes toujours en quête de quelque chose qui nous définit, nous guide et nous tient sous son joug, mais ce joug nous est nécessaire pour vivre. Ou plutôt devrait l'être...

En réalité je suis comme toi par rapport au temps; il n'est pas forcément un allié car, s'il y a une chose qui l'homme ne maîtrise pas c'est bien lui. On le subit comme pas possible.
Dés fois quand je lis tes commentaires sur ce que j'ai ecris j'ai peur, sans savoir pourquoi. Peut être qu'ils apportent des reponses justes auxquelles pourtant je ne m'attends pas. La fameuse question de l'attente!
J'ose aussi croire que sans cette quête perpetuelle l'homme ne saurait apprecier à sa juste valeur sa condition de Commun des mortels.

Je ne crois plus en l'amour, ni en l'amitie ni en Dieu. Je ne crois plus en l'homme ni en la femme et encore moins en l'innoncence.
Je suis devenu du jour au lendemain, un homme sans âme devenu hagard et hilare; je suis devenu un homme qui est passé à côté de son humanité. En proie à la demence je voudrais que mon corps soit jeté aux chiens et ils en feront un festin. Je suis devenu un homme hors des limites de la morale et de la pesenteur du temps; je suis devenu un homme hideux qui n'a de preoccupation que le péché..

Je suis devenu un homme qui chante des liturgies et des elegies dans le seul but de rompre d'avec cette parcelle de lumière qui en reste en moi. Je suis devenu chantre d'un monde dans lequel la joie est reine et la jouissance loi. Je suis devenu un homme libre, libre d'être libre et qui jouit de cette liberté d'homme libre. Je suis devenu tout simplement un homme hors sujet hors des preoccupations de l'homme que j'etais il ya trente, il ya quinze ans, il y a six ans il ya quelques instants, et cet homme là que je suis devenu est un homme nouveau qui fait de la debauche son crédo.
Je voudrasi faire de ma sociéte un havre dans lequel le desordre est sacré ou tout prétendu ordre est contrainte; je voudrais que ce monde soit celui de la liberté absolue et dans lequel la vraie vie est absente et où les reperes n'ont point de sens.

Je suis devenu un homme mécontent, blessé de la tête aux pieds et qui traìne ses cicatrices de jour en jour. Je suis devenu un ennemi public, ennemi de l'ordre et et de la raison, je suis devenu un paria qui chante mes rêves à travers mes sillons de bohémiens. Je suis devenu un volcan qui va entrer en transe sans se soucier des degâts. Je suis devenu un fou heureux, heureux d'errer partout et traînant cette soit disant folie qui illumine mes journées. Tel l'oiseau migrateur, je prendrai mes départs avec le commencement des saisons, je voyagerai de continent en continent pour porter mes nouvelles. De jour en jour, mes adeptes me rejoingnent et ensemble, nous voyagerons encore et encore des milliers de kilomètres car la cygogne accoucheuse de rêves nous a demandé de parler au monde .

Je suis devenu un homme sans doute inhumain, mais qui cherche la lumière dans la folie. Je suis devenu un homme sans scrupules qui scrute ls sommités vulgaires de la deraison pour parler à ces semblables; ces semblables qui existent et que les humains ne voyent pas du fait de la raideur de leur coeur dans leur corps.
Je suis devenu un homme qui cherche juste à me faire comprendre , et telle la rosée matinale , je voudrai desengourdir ces coeurs dans ces corps et rejoindre les sillons de Diogene dans sa quête de l'homme.

..Je suis devenu un homme sans scrupules qui scrute les sommités vulgaires de la déraison pour parler à ces semblables...

Définitivement, ceci terminera sur mon mur, comme tes autres...