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Rappel du premier message :
Beaucoup de théories encadrent la politique comme une sortie ou un chevauchement d’une idéologie à l’autre, la politique, c’est d’abord être citoyen, c’est savoir être engagé, c’est pouvoir s’imposer et s’adapter à toute situation, de là, la silhouette d’un politicien n’est rien d’autre qu’un intellectuel éveillé, un Homme averti, et dans un certain cadre, révolutionnaire. Pour ainsi dire, il ne faut point suivre l’erreur de la plupart, suivre la masse comme on dit, la place d’un leader ne figure pas dans les passifs, sa caricature spirituelle figure dans sa détermination! Savoir être pragmatique est la clé, concrétiser ses pensées, idées, projets. Même étant d’accord avec un système établi, il faudrait avoir l’esprit critique, et même s’auto-critiquer, pour mieux avancer, et bien avancer…
Ce n’est pas la loi de la jungle qui fait force dans ce cas, mais celle de la pensée, de la réflexion, de l’intelligence, de l’innovation, de la volonté, et du pragmatisme. La théorie est assez facile et accessible, la rhétorique, bien qu’étant un talent je présume, pratiquer sa théorie ne révèle pas être chose aisée, c’est dans ce sens que j’en déduis que c’est l’union qui fait la force, la fécondation et accouchement des idées, le perfectionnement incessant de celles déjà concrétisées devrait être la vision la plus rassurante, afin non seulement de tenir les promesses, mais aussi d’exhorter tous les engagés à s’atteler à leurs tâches avec plus d’engouement.
Les paroles font vivre l’homme, certes, créent un espoir étouffant les blessures saignantes d’un long chemin braisé de déceptions, mais cela est hélas provisoire ! Ce qui effectivement, renvoie au soulèvement d'un « yen a marisme » et un NON catégorique, de la part d’une majorité qui suit certes toujours, mais guidée par des leaders éveillés. Un régime bien structuré est un idéal de politique, assez utopique en effet, mais bien possible avec la participation de tous, un patriotisme sans équivoque résulte de sa volonté de changer ce qui se doit, discuter de ce qui doit être, et envisager ce qui peut être.
Beaucoup de théories encadrent la politique comme une sortie ou un chevauchement d’une idéologie à l’autre, la politique, c’est d’abord être citoyen, c’est savoir être engagé, c’est pouvoir s’imposer et s’adapter à toute situation, de là, la silhouette d’un politicien n’est rien d’autre qu’un intellectuel éveillé, un Homme averti, et dans un certain cadre, révolutionnaire. Pour ainsi dire, il ne faut point suivre l’erreur de la plupart, suivre la masse comme on dit, la place d’un leader ne figure pas dans les passifs, sa caricature spirituelle figure dans sa détermination! Savoir être pragmatique est la clé, concrétiser ses pensées, idées, projets. Même étant d’accord avec un système établi, il faudrait avoir l’esprit critique, et même s’auto-critiquer, pour mieux avancer, et bien avancer…
Ce n’est pas la loi de la jungle qui fait force dans ce cas, mais celle de la pensée, de la réflexion, de l’intelligence, de l’innovation, de la volonté, et du pragmatisme. La théorie est assez facile et accessible, la rhétorique, bien qu’étant un talent je présume, pratiquer sa théorie ne révèle pas être chose aisée, c’est dans ce sens que j’en déduis que c’est l’union qui fait la force, la fécondation et accouchement des idées, le perfectionnement incessant de celles déjà concrétisées devrait être la vision la plus rassurante, afin non seulement de tenir les promesses, mais aussi d’exhorter tous les engagés à s’atteler à leurs tâches avec plus d’engouement.
Les paroles font vivre l’homme, certes, créent un espoir étouffant les blessures saignantes d’un long chemin braisé de déceptions, mais cela est hélas provisoire ! Ce qui effectivement, renvoie au soulèvement d'un « yen a marisme » et un NON catégorique, de la part d’une majorité qui suit certes toujours, mais guidée par des leaders éveillés. Un régime bien structuré est un idéal de politique, assez utopique en effet, mais bien possible avec la participation de tous, un patriotisme sans équivoque résulte de sa volonté de changer ce qui se doit, discuter de ce qui doit être, et envisager ce qui peut être.
